Terideal annonce un développement ambitieux pour Sparfel

Catégorie : Actualités

Après avoir racheté la société SPARFEL, le groupe Terideal a annoncé un développement ambitieux pour sa dernière acquisition. Jean-Hervé Sparfel, ancien président de Sparfel, et Eric Plassart, président de Terideal, sont revenus sur ce rachat. 

En décembre 2023, Terideal officialisait le rachat de l’entreprise finistérienne Sparfel, spécialisée dans l’entretien et la maintenance des pelouses sportives. L’ancien président du groupe familial, Jean-Hervé Sparfel, désormais directeur régional Grand Ouest de Terideal, est revenu sur ce rachat dans les colonnes du Télégramme. « Chez Sparfel, nous étions quatre frères à avoir repris le groupe familial. Mon frère aîné, Pascal, a souhaité se retirer des affaires. C’est dans ce contexte que j’ai rencontré Eric Plassart (président de Terideal, ndlr). Assez vite, nous sommes tombés d’accord. Il y a des mots et des valeurs communes qui résonnaient : savoir-faire, compagnons, territoire », confie-t-il.

Avec ce rachat, Terideal (2400 salariés) renforce son savoir-faire dans l’entretien des pelouses sportives et étend ses activités jusqu’en Bretagne. « Nous étions arrivés du côté d’Angers, il y a deux ans, mais jamais en Bretagne. La reprise de Sparfel nous permet de mettre un pied en Bretagne, bien sûr, mais pas seulement », indique Eric Plassart, président de Terideal. En effet, depuis 2017, Sparfel œuvre en Afrique et notamment en Côte d’Ivoire où s’est tenue la dernière CAN (Coupe d’Afrique des Nations).

De son côté, Sparfel pourra s’appuyer sur le savoir-faire du groupe dans de nombreux domaines d’activités. « Le point commun de nos métiers, c’est d’améliorer la vie des gens que ce soit en entretenant des espaces verts ou en refaisant une route », ajoute Eric Plassart. Ce dernier se montre très ambitieux quant au développement de Sparfel dans le giron Terideal. « Nous avons prévu de recruter quatre à cinq personnes par mois pendant trois ans. Et c’est un rythme que nous avons déjà tenu ailleurs », conclut-il.

Corentin RICHARD

Visitez nos
autres sites