Le Stade Charléty en mutation ?
Publié le 9 novembre 2020 à 06h00
Catégorie : Actualités
Le gazon du Paris FC (Ligue 2) bénéficie d’une mini-trêve et de travaux d’aération et de sablage. En attendant mieux d’ici à la fin de la saison ?
Avec l’avalde la Mairie de Paris, propriétaire du Stade Charléty, le staff du Paris FC a mis à profit la « trêve » qui s’annonçait entre les deux rencontres de championnat de Ligue 2 à domicile (la dernière rencontre à Charléty remontant au 31 octobre avec la réception de Caen), comme le montre ce post de Matthieu Battista, assistant groundsman de l’enceinte parisienne, détaché par la société Botanica.
Le prochain match étant prévu le 21 novembre, des opérations d’aération et de sablage ont été effectuées.
Mais l’autre « actu » relative au Stade Charléty concerne les rumeurs de possibles travaux, dans le cas où le Paris FC (actuellement leader) remonterait en Ligue 1.
Pour rappel, le club parisien, qui compte parmi ses actionnaires le Royaume du Bahreïn (à hauteur de 20%), pourrait bénéficier d’une montée en gamme de son stade en cas de montée en Ligue 1, quitte à jouer temporairement dans un autre stade. C’est en tout cas ce que laisse clairement entendre le président du club, Pierre Ferracci, dans un entretien accordé au Parisien :
« On souhaite rester à Charléty, même en L1. Tant qu’on n’est pas monté, on sait que rien ne pourra bouger. (…) J’espère que lorsqu’on sera en L1, la perspective de la rénovation de Charléty sera déjà actée. On a besoin de le savoir rapidement. (…) C’est encore trop tôt pour savoir si on jouera dans un stade partiellement en chantier ou si on devra trouver une solution intermédiaire. Si on doit jouer temporairement ailleurs, je tiens à rester à Paris. Il n’y a donc que le Parc des Princes et Jean Bouin. Dans ce cas-là, on devra trouver un accord temporaire avec les occupants (NDLR : le PSG et le Stade Français) et la Mairie de Paris. »
Rendez-vous à la fin de la saison pour vérifier si les prédictions du dirigeant se confirment !
redactino.gsp24profieldevents.com (Idir Zebboudj)
source : Le Parisien
crédit photo : Matthieu Battista